Cette scène est ceinte d'une lumière intimiste alors même que nous sommes au grand air par un jour pluvieux. La dame est chic, mais porte des vêtements qui ont du vécu et un chapeau coquet pour la mer. Elle semble jouir du grand air, du vent sur son visage, dans une posture appuyée contre le balastre, sise entre confort et malaise, pour se laisser bercer par le bateau qui tangue, lunettes d'approche à la main. Est-ce l'insécurité de la dame à être sur l'eau qui paraît dans son visage à elle? Est-ce tout le sentiment de celui qui peint qui est exprimé ici, car au-delà de la lumière, elle paraît aimée...? Troublante, cette scène, par ce qu'elle contient d'universel.
jeudi 4 décembre 2008
DUEZ, Ernest Ange
Cette scène est ceinte d'une lumière intimiste alors même que nous sommes au grand air par un jour pluvieux. La dame est chic, mais porte des vêtements qui ont du vécu et un chapeau coquet pour la mer. Elle semble jouir du grand air, du vent sur son visage, dans une posture appuyée contre le balastre, sise entre confort et malaise, pour se laisser bercer par le bateau qui tangue, lunettes d'approche à la main. Est-ce l'insécurité de la dame à être sur l'eau qui paraît dans son visage à elle? Est-ce tout le sentiment de celui qui peint qui est exprimé ici, car au-delà de la lumière, elle paraît aimée...? Troublante, cette scène, par ce qu'elle contient d'universel.
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