Bien qu'à première vue, cette image paraisse esthétique. Les craquelures dans le masque de la Geisha et de toute la toile rendent ce portrait très triste. Disparition d'une culture. Impossibilité à maintenir le masque. L'évocation ne peut être anodine même si inconsciente... Histoire d'une beauté perdue.
samedi 6 décembre 2008
MIALET, Chrystel
Bien qu'à première vue, cette image paraisse esthétique. Les craquelures dans le masque de la Geisha et de toute la toile rendent ce portrait très triste. Disparition d'une culture. Impossibilité à maintenir le masque. L'évocation ne peut être anodine même si inconsciente... Histoire d'une beauté perdue.
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